Un nain tout de métal bardé errant dans le désert, deux Loups-Garous philosophes – et une légère crise de foi –, trois femmes belles et mystérieuses, une horde de barbares à l’humour barbare et aux manières barbares, vingt-quatre cadavres presque morts et une pénurie d’allumettes...
Et bien sûr, une porte.
Ouverte ou fermée, grattée, toquée ou explosée, de chêne (massif, renforcé de fer forgé) ou de frêle bouleau, elle est le pivot grinçant de ce petit conte férocement dégondé.